

Il fallait que je sorte.
J'ai senti que je me perdais un peu. Ou en tout cas, que je ne m’y retrouvais plus totalement. Après pas mal de temps passé à créer du digital, je me rends compte que tout cela reste éphémère, sans réel impact. Alors j’ai décidé de lever un peu le pied. De revenir au réel, au concret, à ce qui se fabrique lentement, sans qu’un écran me sépare forcément de ce que je crée. Toucher la matière est comme devenu une nécessité.
Sous le nom de Saturn, je conçois des tapis entièrement faits à la main. Chaque pièce naît d’un dessin intuitif, avant de prendre forme à travers des gestes précis. C’est un travail qui demande de l’attention et du temps. Rien n’est lisse ni parfait car je ne veux pas produire, je veux créer. C’est ma manière de réapprendre a prendre le temps, reprendre contact avec le réel.
C’est ça, “toucher l’herbe”.
Il fallait que je sorte.
J'ai senti que je me perdais un peu. Ou en tout cas, que je ne m’y retrouvais plus totalement. Après pas mal de temps passé à créer du digital, je me rends compte que tout cela reste éphémère, sans réel impact. Alors j’ai décidé de lever un peu le pied. De revenir au réel, au concret, à ce qui se fabrique lentement, sans qu’un écran me sépare forcément de ce que je crée. Toucher la matière est comme devenu une nécessité.
Sous le nom de Saturn, je conçois des tapis entièrement faits à la main. Chaque pièce naît d’un dessin intuitif, avant de prendre forme à travers des gestes précis. C’est un travail qui demande de l’attention et du temps. Rien n’est lisse ni parfait car je ne veux pas produire, je veux créer. C’est ma manière de réapprendre a prendre le temps, reprendre contact avec le réel.
C’est ça, “toucher l’herbe”.
Atetlier
MÜON
Atetlier
MÜON
***
2025
***
2025
Il fallait que je sorte.
J'ai senti que je me perdais un peu. Ou en tout cas, que je ne m’y retrouvais plus totalement. Après pas mal de temps passé à créer du digital, je me rends compte que tout cela reste éphémère, sans réel impact. Alors j’ai décidé de lever un peu le pied. De revenir au réel, au concret, à ce qui se fabrique lentement, sans qu’un écran me sépare forcément de ce que je crée. Toucher la matière est comme devenu une nécessité.
Sous le nom de Saturn, je conçois des tapis entièrement faits à la main. Chaque pièce naît d’un dessin intuitif, avant de prendre forme à travers des gestes précis. C’est un travail qui demande de l’attention et du temps. Rien n’est lisse ni parfait car je ne veux pas produire, je veux créer. C’est ma manière de réapprendre a prendre le temps, reprendre contact avec le réel.
C’est ça, “toucher l’herbe”.
Il fallait que je sorte.
J'ai senti que je me perdais un peu. Ou en tout cas, que je ne m’y retrouvais plus totalement. Après pas mal de temps passé à créer du digital, je me rends compte que tout cela reste éphémère, sans réel impact. Alors j’ai décidé de lever un peu le pied. De revenir au réel, au concret, à ce qui se fabrique lentement, sans qu’un écran me sépare forcément de ce que je crée. Toucher la matière est comme devenu une nécessité.
Sous le nom de Saturn, je conçois des tapis entièrement faits à la main. Chaque pièce naît d’un dessin intuitif, avant de prendre forme à travers des gestes précis. C’est un travail qui demande de l’attention et du temps. Rien n’est lisse ni parfait car je ne veux pas produire, je veux créer. C’est ma manière de réapprendre a prendre le temps, reprendre contact avec le réel.
C’est ça, “toucher l’herbe”.
Il fallait que je sorte.
J'ai senti que je me perdais un peu. Ou en tout cas, que je ne m’y retrouvais plus totalement. Après pas mal de temps passé à créer du digital, je me rends compte que tout cela reste éphémère, sans réel impact. Alors j’ai décidé de lever un peu le pied. De revenir au réel, au concret, à ce qui se fabrique lentement, sans qu’un écran me sépare forcément de ce que je crée. Toucher la matière est comme devenu une nécessité.
Sous le nom de Saturn, je conçois des tapis entièrement faits à la main. Chaque pièce naît d’un dessin intuitif, avant de prendre forme à travers des gestes précis. C’est un travail qui demande de l’attention et du temps. Rien n’est lisse ni parfait car je ne veux pas produire, je veux créer. C’est ma manière de réapprendre a prendre le temps, reprendre contact avec le réel.
C’est ça, “toucher l’herbe”.